L’acte de pénétration est souvent la phase la plus cruciale quand deux personnes font l’amour. Et pourtant, on peut bien réussir à faire l’amour sans pénétration. Voici les propos des experts en love.
Les positions pour faire l’amour pour le fainéant
C’est vrai qu’il y a des moments où on se sent vraiment fatigué, homme ou femme, et pourtant, notre partenaire veut faire l’amour. On peut trouver un compromis et faire l’amour en toute discrétion. La position de la missionnaire est celle la plus classique dont le monsieur se place entre les jambes de la femme n’est pas du tout fatiguant. La position cuillère est aussi conseillée pour les couples fatigués ou fainéants. Et puis, le Kâmasûtra présente plusieurs types de positions que vous pouvez copier. On peut prendre la position d'huître qui ressemble à celle de la missionnaire, mais modérée. Puis, l’enclume qui est basée sur la missionnaire, mais les jambes de la femme se positionne sur les épaules de son mari. Et le dernier, c’est le gaufrier. En observant les photos volees femmes nues, la femme prend le dessus, le but est de frotter les deux corps.
La sexualité sans pénétration
Cette sexualité sans pénétration est conseillée par les sexologues surtout pour éviter la transmission des maladies sexuellement transmissibles quand on n’a pas de condom. C’est également la solution efficace pour les jeunes qui ne veulent pas d’enfant. Et pour les sexologues, la non-pénétration est très avantageuse pour éliminer le stress des jeunes hommes quand ils veulent faire l’amour la première fois. Les caresses, et les câlins, les touchers et les jeux de doigts augmentent quand on pratique le sexe sans pénétration et le plaisir devient intense. Pour les couples âgés, ils peuvent aussi le pratiquer pour régler les pannes sexuelles, ainsi que pour changer de monotonie sur leur vie sexuelle.
Faire l’amour ne rime pas obligatoirement avec la pénétration et c’est vraiment cette notion de sexe qui pose problème aux gens et à la fin, ils ne savent pas différencier la baise et faire l’amour.
